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Gestion des risques : prévenir les pannes de systèmes critiques

La gestion des risques est un aspect primordial pour toute entreprise souhaitant assurer la continuité et l’efficacité de ses opérations. Dans le contexte actuel, marqué par une dépendance croissante vis-à-vis des technologies de l’information et de la communication, la prévention des pannes de systèmes critiques devient un enjeu majeur qui nécessite une attention particulière.

Dans le secteur de l’aéronautique, par exemple, les systèmes embarqués sont conçus selon des normes très strictes pour prévenir toute défaillance pouvant conduire à des catastrophes. Un incident tel que la panne du système anti-givre du vol Air France 447 en 2009 montre cependant que même les dispositifs les plus sophistiqués ne sont pas à l’abri d’imprévus. Dès lors, il devient essentiel d’adopter une démarche proactive, non seulement dans l’élaboration des processus mais aussi dans leur suivi et leur mise à jour continue.

L’adoption de méthodologies comme ITIL (Information Technology Infrastructure Library) pour la gestion des services informatiques ou encore ISO 27001 pour la sécurité de l’information permettent d’établir un cadre structuré visant à limiter les risques liés aux systèmes d’information. Ces normes encouragent une approche systématique qui favorise la détection anticipée des anomalies et facilite leur prise en charge avant qu’elles n’affectent les activités critiques de l’entreprise.

Un autre exemple éloquent est celui des institutions financières. Ces dernières font face à une double problématique : garantir la sécurité transactionnelle et satisfaire les exigences réglementaires toujours plus pointues. La crise financière de 2008 a mis en lumière les conséquences désastreuses que peuvent avoir des pratiques risquées et insuffisamment encadrées. Depuis, le secteur bancaire a renforcé ses dispositifs de contrôle interne et mis en œuvre des solutions informatiques avancées pour surveiller en temps réel les activités suspectes ou anormales afin d’éviter toute interruption susceptible d’engendrer un effondrement systémique.

En matière de cybersécurité, où les menaces évoluent constamment, il est fondamental d’intégrer des stratégies défensives multicouches comprenant la sécurisation physique des serveurs, le chiffrement des données, ainsi que la sensibilisation et formation continue du personnel. Les attaques par rançongiciels, qui visent à bloquer l’accès aux données jusqu’à ce qu’une rançon soit payée, sont un fléau pour les entreprises. L’exemple tristement célèbre du ransomware WannaCry en 2017 a montré qu’une vulnérabilité non corrigée peut avoir des répercussions mondiales sur des infrastructures critiques telles que le NHS au Royaume-Uni.

Certains secteurs tels que l’énergie ou le nucléaire se doivent d’être exemplaires dans la gestion de leurs risques opérationnels. Les incidents tels que ceux survenus à Fukushima en 2011 ont souligné l’importance capitale d’avoir non seulement un plan de prévention solide mais également un plan de réponse efficace face aux situations extrêmes. Cela implique souvent une collaboration étroite avec les autorités locales et nationales ainsi qu’un investissement constant dans les tests et simulations destinés à éprouver la résilience du système.

La redondance est également une pratique courante pour sécuriser les systèmes critiques : elle consiste à dupliquer certains composants ou fonctions afin qu’en cas de défaillance d’un élément, un autre puisse prendre le relais sans interruption du service. Cette stratégie est employée dans divers domaines allant du contrôle aérien au fonctionnement des centres de données.

Pour conclure, gérer efficacement les risques associés aux pénuries de systèmes critiques implique une compréhension approfondie tant des technologies impliquées que des processus métier affectés. L’intérêt croissant pour l’intelligence artificielle et le big data offre aujourd’hui aux organisations des moyens inédits pour analyser leurs vulnérabilités et mettre en place des mécanismes proactifs capables d’anticiper voire d’éviter certaines défaillances avant qu’elles ne surviennent. Toutefois, ces avancées technologiques ne sauraient remplacer une culture organisationnelle forte axée sur la sécurité et la préparation aux crises qui demeure au cœur d’une gestion efficace des risques.

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Réussir en e-commerce avec le dynamic pricing

Le commerce électronique a révolutionné la manière dont nous achetons et vendons des produits. Mais avec l’augmentation de la concurrence, il est devenu impératif pour les retailers en ligne d’adopter des stratégies innovantes pour rester compétitifs. L’une de ces stratégies est le « Dynamic Pricing », une méthode de tarification flexible qui peut faire toute la différence dans le succès d’une entreprise en ligne.

Comprendre le Dynamic Pricing

Le Dynamic Pricing, ou tarification dynamique, est une stratégie où les prix des produits sont ajustés en temps réel en fonction de divers facteurs du marché comme la demande, la concurrence, et les niveaux de stock. Imaginez une salle de concert : plus le jour du spectacle approche et moins il reste de places disponibles, plus les prix montent. Cette même logique s’applique au e-commerce où, par exemple, un détaillant peut augmenter le prix d’un manteau d’hiver lorsque la température chute soudainement ou lorsqu’un concurrent est en rupture de stock.

Pourquoi adopter cette approche? Le e-commerce est marqué par des changements rapides et imprévisibles du comportement des consommateurs et des conditions du marché. En utilisant le Dynamic Pricing, les entreprises peuvent réagir à ces changements presque instantanément, maximisant ainsi leurs profits et leur pertinence sur le marché.

L’impact du Dynamic Pricing sur les ventes et la fidélisation

Une tarification dynamique efficace peut entraîner une augmentation significative des ventes. En ajustant les prix pour correspondre à la volonté de payer actuelle des clients, on capture non seulement ceux qui cherchent à acheter au meilleur prix mais aussi ceux qui sont prêts à payer plus pour obtenir ce qu’ils veulent immédiatement. Cela crée un équilibre entre volume de ventes et marges bénéficiaires. Cependant, il faut être prudent : si les clients perçoivent que les prix fluctuent trop fréquemment ou sans raison apparente, cela peut nuire à la fidélité à la marque.

C’est là que l’intelligence artificielle entre en jeu. Les outils basés sur l’IA analysent des quantités massives de données pour déterminer les meilleurs points de prix possibles tout en prenant en compte l’élasticité-prix du produit. Ils permettent également aux entreprises d’avoir une vue complète sur comment leurs concurrents tarifient leurs produits – un avantage crucial dans un environnement aussi compétitif que celui du e-commerce.

Ainsi, bien que le Dynamic Pricing puisse être un puissant levier pour stimuler les ventes, son succès repose largement sur l’équilibre entre l’optimisation des revenus et la satisfaction client – un équilibre souvent difficile à atteindre mais crucial pour une stratégie durable à long terme.

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Le PER, un outil de fidélisation pour les entreprises

La fidélisation des salariés est au cœur des préoccupations d’un grand nombre d’entreprises. Or, afin de s’en assurer, les entreprises disposent d’un certain nombre de solutions, telles que les dispositifs d’épargne salariale. Le Plan d’Epargne Retraite (PER) est justement l’un de ces outils qui permettent aux salariés de se constituer une épargne pour leur retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et sociaux. Vous réfléchissez à la mise en place de cette alternative pour l’utiliser comme un outil de fidélisation ? Voyons comment le PER peut être utilisé par les entreprises en ce sens afin d’inciter leurs salariés à s’impliquer davantage dans leur travail.

Le PER, un outil de fidélisation pour les entreprises

Vous l’aurez compris, le PER est un dispositif d’épargne salariale qui permet aux salariés de se constituer un capital pour leur retraite. Il a été instauré le 1er octobre 2019 et se décline sous 3 formes : le PER individuel et deux PER d’entreprise. De son côté, le PER individuel a pris le relais du PERP et du contrat Madelin.

De manière générale, les entreprises peuvent mettre en place un PER pour leurs salariés, en complément de dispositifs de participation et d’intéressement, comme le Plan d’Epargne Entreprise (PEE).

Parmi les atouts de ce dispositif pour la fidélisation des salariés, on peut par exemple citer l’un des avantages majeurs du PER d’entreprise, à savoir l’abondement, qui n’est autre que la contribution financière de l’employeur aux cotisations. Ce dernier permet effectivement d’encourager la participation des salariés et de les fidéliser en leur offrant des avantages financiers. De plus, l’abondement est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise et exonéré de charges sociales, ce qui représente un avantage fiscal pour l’employeur.

Fidéliser en entreprise : les avantages du PER pour les salariés

Notons que pour les salariés, le PER offre plusieurs avantages en termes d’épargne, de prévoyance et de rémunération. 

Tout d’abord, les versements effectués sont déductibles du revenu imposable, ce qui permet aux salariés de bénéficier d’une économie d’impôt. De même, les sommes versées sur le PER sont bloquées jusqu’à la retraite, sauf cas de déblocage anticipé prévus par la loi, ce qui garantit une épargne significative à long terme.

Les collaborateurs peuvent également bénéficier d’une gestion personnalisée de leur épargne en fonction de leur profil d’investisseur et de leur horizon de placement. Ainsi, les salariés ont la possibilité de choisir parmi différents produits d’investissement afin d’optimiser la rentabilité de leur épargne.

La mise en place d’un PER d’entreprise : les bases pour fidéliser

Lorsque la mise en place d’un PER d’entreprise intervient avec l’objectif clair de fidéliser les salariés, il est primordial que ces derniers ne se sentent pas floués par le dispositif. Cela implique entre autres de négocier et de conclure un accord avec les représentants du personnel ou les syndicats pour déterminer les modalités de fonctionnement, en particulier en ce qui concerne l’abondement de l’employeur, les modalités de gestion, etc.

De plus, l’entreprise doit veiller à informer et à sensibiliser ses salariés sur les avantages du dispositif, en organisant par exemple des réunions d’information ou des ateliers de formation. Elle peut aussi proposer des outils et des services en ligne pour faciliter l’accès à l’information et le suivi de l’épargne.

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La Business Intelligence pour le marketing et la vente

Le marketing et la vente sont deux éléments fondamentaux de la pérennité des entreprises. Ils sont liés entre eux, car si le marketing n’est pas efficace, les ventes ne seront pas bonnes. 

En effet, le marketing permet de comprendre les attentes des consommateurs et la situation du marché dans lequel évolue l’entreprise et d’influencer le comportement des consommateurs pour les inciter à acheter les produits ou services.

C’est pourquoi une bonne analyse des données est primordiale. Toutefois, avec la grande quantité des informations disponibles, il n’est pas simple de s’y retrouver et encore moins de pouvoir toutes les analyser, surtout pour les petites et moyennes entreprises qui n’ont pas toujours les compétences en interne. 

C’est pourquoi il est indispensable de recourir à des outils dédiés à ce que l’on appelle la Business Intelligence (BI) ou informatique décisionnelle. Faisons le point sur les solutions disponibles sur le marché.

L’utilisation de la Business Intelligence pour l’analyse des données de vente

Certains outils de Business Intelligence sont une arme redoutable pour faire face à l’accroissement des données collectées. C’est notamment le cas de Power BI, un outil de Microsoft qui permet d’analyser des données à partir de différentes sources, notamment Microsoft Excel et Microsoft Power Query (nous y reviendrons). Hors ses qualités intrinsèques, le « tampon » microsoft et les possibilités de certification comme PL-300 rendent le produit incontournable.

Power BI permet de collecter et de traiter une grosse quantité de données là où un traitement manuel n’est pas possible. L’outil permet d’exploiter les informations en créant des tableaux de bord interactifs et des rapports visuels. Ainsi, les entreprises peuvent visualiser et interpréter plus facilement leurs données de vente, par exemple :

  • les tendances de vente ;
  • les produits qui se vendent le plus ; 
  • les segments de marché les plus rentables .

À partir de ces informations, les entreprises peuvent ajuster leur stratégie de marketing pour maximiser leur rentabilité.

L’optimisation de la collecte de données avec Microsoft Power Query

Être en mesure de traiter un grand nombre d’informations est une chose, encore faut-il qu’elles soient pertinentes et exploitables. Ce n’est qu’à cette condition qu’elles seront utiles pour réellement permettre de comprendre le public cible et personnaliser la stratégie de marketing et de vente en conséquence. C’est pourquoi il est intéressant d’utiliser Microsoft Power Query en complément de Power BI. 

Power Query est un outil de BI qui permet de collecter et de transformer des données à partir de différentes sources, notamment les réseaux sociaux, les bases de données des clients et les formulaires de contact en ligne. L’outil permet alors de transformer ces données en formats compatibles avec Power BI et/ou Microsoft Excel VBA.

L’automatisation des processus de vente avec Microsoft Excel VBA

Dernier axe pour une stratégie BI bien ficelée : Microsoft Excel VBA. VBA est un langage de programmation qui permet d’automatiser les processus répétitifs dans Microsoft Excel. Il devient donc envisageable d’automatiser les processus de vente, comme la saisie des commandes, la génération de factures et la mise à jour des données de vente.

Le gain de temps généré libère les équipes commerciales qui peuvent alors se concentrer sur la vente et le développement des relations clients. En outre, l’automatisation permet de limiter le risque d’erreur, mais permet également de réduire le temps de traitement des commandes.

Pour ainsi dire, la Business Intelligence est une alliée des entreprises en matière de transformation digitale.

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La mobilité électrique au service des entreprises : les avantages des scooters électriques pour les déplacements professionnels

Pourquoi opter pour des scooters électriques pour les déplacements professionnels ? Parce que les scooters électriques offrent de nombreux avantages : mobilité durable, préservation de l’environnement, bénéfices économiques pour les entreprises, etc. Vous souhaitez en savoir davantage, on vous explique tout.

1. Les avantages écologiques des scooters électriques pour l’entreprise

Avec un nombre croissant de véhicules en circulation, les temps de trajet s’allongent et les conditions de déplacement sont de plus en plus laborieuses. 

En plus de faciliter les trajets, les avantages des scooters électriques pour l’environnement sont évidents : moins de nuisances (sonores et olfactives) et aucune émission nocive pour l’environnement et ses habitants.

2. Les bénéfices économiques des scooters électriques pour les entreprises

Les coûts d’entretien et d’utilisation des scooters électriques sont infimes et le coût de la recharge électrique moins onéreux qu’un plein de carburant.

De plus, l’achat de scooters électriques offre des avantages fiscaux pour les entreprises (pas de taxe sur les véhicules de société, déduction fiscale, barème kilométrique).

Des offres de services existent également : 

  • abonnement pour une mise à disposition de scooters électriques 
  • véhicules adaptés aux tournées régulières ou livraisons 
  • mise à disposition d’une flotte privée en libre-service avec une application de gestion 

3. Les solutions de location de scooters électriques pour les entreprises

Les avantages de la location longue durée de scooters électriques sont divers : 

  • absence de frais fixe (l’entretien et la maintenance étant à la charge du loueur) ; 
  • changement de batterie sans surcoût ; 
  • renouvellement périodique des scooters ;
  • assurance gérée par le loueur ;
  • aucun investissement.

4. Les nouvelles solutions de mobilité partagée pour les entreprises

La mobilité partagée permet aux entreprises de réduire leur flotte de véhicules sans pour autant nuire à la productivité et à l’activité des salariés, limitant ainsi les dépenses fixes. Ce type d’offres existe aussi en libre-service pour les entreprises dans le cadre des déplacements professionnels ou les trajets domicile – travail.

D’autres tendances facilitent la transition des entreprises : 

  • mobilité électrique multimodale connectée ; 
  • véhicules électriques autonomes ; 
  • services en matière de mobilité électrique qui s’étend .

5. Le salon Autonomy à Paris : l’événement dédié à la mobilité durable et électrique

Le salon Autonomy à Paris est le grand rassemblement annuel mondial présentant les innovations et tendances de la mobilité durable et électrique pour les entreprises : smart-city ou les villes à mobilité intelligente, logiciels de gestion des flottes de véhicules plus vertes, programme E-mobility, etc. 

C’est l’occasion de découvrir les nouveaux modèles de scooters électriques, comme le Yamaha Tricity 125 cm3 de la start-up Troopy ou le catalogue de scooters électriques pour pros de la marque silence.

6. Les applications mobiles dédiées à la mobilité électrique pour les entreprises

Si s’équiper de scooters électriques est une solution, les avantages des applications mobiles pour les entreprises sont un atout pour suivre sa flotte, gérer la mobilité partagée, mettre en place un paiement à la carte pour les trajets domicile – travail, gérer la maintenance de ses véhicules, etc.

7. L’achat de flottes de scooters électriques pour les entreprises

Les avantages de l’achat d’un parc de scooters électriques pour les entreprises ne doivent pas être négligés : 

  • libre choix du modèle, couleur et accessoires ;
  • usage plus économique tout frais confondu ; 
  • aucune dépendance à un prestataire ;
  • aides à l’achat disponibles ; 
  • défiscalisation et amortissement comptable.
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Garanties et cautions exigées pour les prêts professionnels : comment s’y préparer ?

L’obtention d’un prêt professionnel est souvent nécessaire pour financer un projet d’entreprise, qu’il s’agisse d’une création ou du développement d’une activité déjà existante. Toutefois, avant d’accorder un crédit, quel qu’il soit, les banques et organismes prêteurs exigent généralement des garanties et cautions afin de se protéger en cas de défaillance de l’emprunteur.

Si vous pensez être dans cette situation dans un futur plus ou moins proche, faisons un tour d’horizon de la meilleure façon de vous préparer aux garanties et cautions demandées pour les prêts professionnels. N’oubliez pas que l’avis d’un professionnel, comme Finance Conseil par exemple, vaudra toujours mieux que nos conseils.

Comprenez les différents types de garanties et cautions

En premier lieu, il est essentiel que vous compreniez bien les différentes garanties et cautions demandées par les banques et organismes prêteurs pour les prêts professionnels. En effet, les spécificités de chacune peuvent significativement varier.

Par exemple, dans le cas d’une caution personnelle, le dirigeant de l’entreprise ou un tiers se porte caution solidaire et s’engage à rembourser l’emprunt en cas de défaillance de l’entreprise. L’impact peut donc être majeur pour la personne concernée et son patrimoine personnel.

Dans un autre registre, la garantie réelle (nantissement, hypothèque, etc.) peut paraître comme une solution moins risquée, même si là encore, tout manquement est susceptible d’entraîner la perte du bien concerné.

Enfin, l’assurance emprunteur est sans doute l’option la plus sage, lorsqu’elle suffit, puisqu’il suffit d’une cotisation mensuelle pour garantir le remboursement du prêt en cas d’incapacité de l’emprunteur à honorer ses engagements (décès, invalidité, etc.).

Dans tous les cas, il faut savoir que les garanties et cautions exigées dépendent généralement du type de prêt, du montant emprunté et du niveau de risque perçu par la banque ou l’établissement prêteur.

Préparez votre dossier de garanties et cautions

Une fois que vous avez identifié les garanties et cautions exigées par les banques pour un prêt professionnel, vous pouvez préparer votre dossier en conséquence.

Pour commencer, rassemblez les documents nécessaires pour chaque type de garantie ou caution (acte de propriété, contrat d’assurance, etc.). Puis, faites une simulation en ligne pour évaluer le montant de votre emprunt et la probabilité des garanties associées. Notez que si vous prévoyez de solliciter une caution personnelle, vous devez évidemment en discuter avec la personne concernée et vous assurer qu’elles comprennent bien les tenants et aboutissants de sa décision.

Si vous préférez une garantie réelle, faites appel, si possible, à un courtier ou à un notaire, afin de profiter d’une aide bienvenue pour la préparation des documents.

Optimisez votre apport personnel et votre plan de financement

L’apport personnel et le plan de financement sont tous deux des éléments clés pour rassurer les banques et organismes prêteurs sur votre capacité à rembourser votre prêt professionnel. En augmentant votre apport personnel, vous pouvez considérablement réduire le montant emprunté et le risque pour le prêteur.

De plus, grâce à un plan de financement bien structuré, vous démontrez votre sérieux et votre engagement dans le projet.

Quelques astuces simples peuvent vous permettre d’optimiser votre apport personnel et votre plan de financement. Vous pouvez ainsi :

  • économiser et investir autant que possible dans votre entreprise ;
  • explorer les autres sources de financement (subventions, financements participatifs, etc.) ;
  • détailler vos projections financières et votre stratégie de développement ;
  • avoir recours aux services d’un conseiller en création d’entreprise.

Et n’oubliez pas, la clé du succès réside dans la préparation, la rigueur et la transparence.

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Lancer sa boutique en ligne : quelle plateforme choisir ?

Lorsque l’on sait qu’en 2020, ce sont près de 200 000 boutiques en ligne françaises qui se sont partagées 41 millions de clients pour un chiffre d’affaires record de 112 milliards d’euros, il est légitime de trouver tentant de lancer son propre e-commerce. 

Si trouver la bonne idée de produits ou de services est d’une importance capitale pour mettre toutes les chances de son côté, choisir la plateforme de vente la plus adaptée reste une condition sine qua non. Que ce soit en matière d’expérience utilisateur ou pour mettre les produits convenablement en valeur dans une boutique soignée et avec un beau design, la solution utilisée est alors une des clefs de réussite.

Mais avec plus de 150 éditeurs ou prestataires sur le marché, il est difficile de s’y retrouver et plus encore lorsqu’on lance sa toute première boutique en ligne. Voici ce qu’il faut savoir sur le sujet.

Lancer une boutique en ligne avec un logiciel Saas

Les outils en mode Saas (Software as a service) sont des solutions très en vogue aujourd’hui. Cela consiste à prendre un abonnement à une solution e-commerce hébergée chez le fournisseur de l’outil. Ces logiciels ou applications sont Plug & play, c’est-à-dire qu’elles n’exigent que très peu d’expertise puisque toutes les fonctionnalités nécessaires sont intégrées et paramétrées : hébergement, nom de domaine, configuration, personnalisation, design, maintenance technique, sauvegarde, SEO, design, etc. 

Il faut alors très peu de temps (quelques jours seulement) pour créer son site e-commerce et le rendre opérationnel, et ce pour un coût très faible. L’inconvénient majeur de ce type de solution est que la personnalisation (design et fonctionnalités) demeure assez limitée. Mais c’est une bonne solution pour les novices.

Shopify, créé en 2009, est le logiciel Saas le plus populaire dans le monde. Aujourd’hui, 1 million de sites e-commerce sont sur Shopify. L’outil est très simple d’utilisation et peu onéreux, il attire surtout les petites entreprises, car il est peu adapté aux gros sites de e-commerce.

Lancer une boutique en ligne avec un CMS open source

Les CMS (content management system) en open source (modifiable, car le code source est disponible) sont l’outil de référence de gros e-commerce dans la mesure où ils sont entièrement personnalisables, pour peu que l’on possède les compétences techniques. Le cas échéant, ces solutions nécessitent de faire appel à un développeur si l’on souhaite une configuration personnalisée.

Contrairement aux solutions Saas et marketplace (comme Amazon, eBay, Cdiscount, etc.), l’installation d’un CMS open source est souvent gratuite et la personnalisation et le design sont plus libres. En contrepartie, il faut gérer soi-même tous les aspects de son e-commerce : hébergement, achat d’un nom de domaine, sécurisation et sauvegarde du site, etc. Cela fait beaucoup à maitriser en plus des formalités administratives usuelles.

WooCommerce est le module e-commerce en open source gratuit le plus populaire à l’échelle mondiale, car il fonctionne sur le CMS le plus connu pour la création de site ou de blog, à savoir WordPress. WooCommerce se positionne avant Shopitfy et représente 29 % des CMS de boutique en ligne dans le monde. Pour ainsi dire, il est considéré comme l’un des systèmes les plus fiables et les plus complets permettant de créer un site e-commerce très professionnel grâce, notamment, à une multitude de plug-ins disponibles.

Prestashop est une solution de e-commerce open source française qui représente 27 % de parts de marché en France. Prestashop est ainsi le premier CMS utilisé dans le pays (300 000 e-commerces).

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Qu’est-ce que le management participatif ?

Une entreprise a le choix entre différents types de management pour la gestion de ses salariés. Si la plupart des sociétés appliquent un management directif, ce modèle n’est plus forcément en phase avec les attentes des employés de la nouvelle génération. De son côté, le management participatif tend à se développer, puisqu’il offre des conditions de travail beaucoup plus attractives pour les collaborateurs et essentiellement axées sur le bien-être de chacun. Bien que de nombreuses sociétés restent réticentes face à ce nouveau type de management plus bienveillant, les entreprises qui l’ont déjà adopté peuvent témoigner de ses effets sur leur chiffre d’affaires, mais aussi sur leur développement global. 

Pour vous aider à mieux cerner les avantages de cette stratégie, faisons un point rapide sur les tenants et aboutissants du management participatif.

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Comment créer son entreprise sans argent ?

Vous avez toujours rêvé de monter votre propre boîte, d’être votre propre patron, de donner corps à vos projets, bref, d’avoir votre entreprise. De plus, avec la situation économique actuelle, la précarité du travail n’a jamais été aussi évidente. Personne n’est à l’abri du chômage et tellement de gens ont perdu leur job du jour au lendemain. Mais voilà, vous êtes sans le sou et vous ne voyez pas comment vous pouvez réaliser ce rêve un jour. La bonne nouvelle, c’est qu’il y a des moyens d’y parvenir.

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Pourquoi utiliser un logiciel SIRH ?

Grâce aux solutions numériques qui ont émergé au fil des années, à commencer par les logiciels SIRH, les entreprises ont vu leur quotidien profondément transformé. Parmi les métiers touchés, ceux des ressources humaines ont pu bénéficier de l’émergence de ces outils, qui n’ont pas manqué de leur procurer des avantages utiles pour la gestion des collaborateurs et salariés. Des tâches administratives à la valorisation des talents, le logiciel SIRH fait véritablement partie des solutions qui ont révolutionné le secteur des ressources humaines.