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Techniques de négociation pour managers: Stratégies clés et applications pratiques

Les techniques de négociation sont essentielles à la réussite des managers dans le monde des affaires contemporain. Face à un environnement commercial en constante évolution, les managers doivent maîtriser l’art de la négociation non seulement pour assurer la prospérité de leurs organisations mais aussi pour naviguer efficacement dans les relations interpersonnelles complexes qui caractérisent le lieu de travail moderne. La capacité à négocier avec succès repose sur une combinaison d’intelligence émotionnelle, de préparation minutieuse, et d’une compréhension approfondie des techniques et stratégies éprouvées.

Principes fondamentaux de la négociation

Un principe central dans toute négociation est celui du ‘win-win’, ou situation gagnant-gagnant. L’idée est d’atteindre une solution où toutes les parties impliquées trouvent leur compte, favorisant ainsi une relation durable et constructive. Prenons l’exemple d’une entreprise A cherchant à acquérir un fournisseur B. Si A aborde les pourparlers uniquement sous l’angle de réduire les coûts, B pourrait se sentir lésé et pourrait compromettre la qualité ou interrompre la relation en cas de meilleure offre. En revanche, si A présente des arguments valorisant les avantages mutuels, comme un partenariat stratégique offrant une stabilité à long terme pour B et des coûts optimisés pour A, alors les deux entreprises peuvent progresser vers un accord mutuellement bénéfique.

Stratégies avancées en négociation

Au-delà des principes de base, il existe des stratégies plus nuancées que les managers peuvent déployer pour améliorer l’efficacité de leurs négociations. L’une d’elles est la technique du ‘nibble’, qui consiste à demander un petit extra après qu’un accord a été apparemment conclu. Cela peut être risqué car il peut donner l’impression d’être malhonnête si mal utilisé; cependant, lorsqu’il est appliqué avec tact dans le contexte approprié – par exemple lorsque votre entreprise a fourni des concessions significatives pendant la négociation – cela peut permettre d’obtenir davantage sans perturber l’accord global.

Dans cette veine, le concept du ‘BATNA’, ou Best Alternative to a Negotiated Agreement (Meilleure alternative à un accord négocié), est crucial. Connaître son BATNA revient à avoir une option plan B solide en cas d’échec des négociations. Cela confère un pouvoir considérable car connaissant leur meilleure alternative, les managers peuvent aborder les discussions avec plus de confiance et moins de pression pour accepter une offre inférieure. Imaginons une entreprise C qui envisage deux fournisseurs potentiels D et E pour un composant clé; si D sait que C a une alternative viable avec E, D sera probablement plus disposé à offrir des termes favorables pour s’assurer le contrat.

Affiner les techniques de communication est également primordial lorsqu’il s’agit de négocier efficacement. L’utilisation judicieuse des questions ouvertes par exemple, peut révéler des informations précieuses sur ce que l’autre partie valorise vraiment dans l’accord potentiel. Supposons qu’un manager engage une discussion avec un autre département pour obtenir plus de ressources; plutôt que d’imposer directement ses besoins, il pourrait poser des questions telles que ‘Quels sont vos objectifs prioritaires pour ce trimestre?’ Cette approche permettrait non seulement d’identifier les domaines où leurs intérêts se chevauchent mais aussi où ils diffèrent, facilitant ainsi la recherche d’un terrain d’entente.

Conclusion

Il y a beaucoup à considérer lorsqu’il s’agit de maîtriser les techniques de négociation en tant que manager. Chaque situation est unique et exige une application adaptée des principes et stratégies discutés ici. Les managers doivent rester flexibles, attentifs aux dynamiques changeantes durant la négociation et prêts à adapter leur approche au fur et à mesure que nouvelles informations sont révélées. Avec ces outils en main et un engagement continu envers le développement personnel et professionnel, ils seront bien équipés pour transformer chaque opportunité de négociation en succès tangible.

Le juridique

Compteur Linky et la question de la confidentialité

Le débat autour des compteurs électriques communicants Linky, installés par Enedis (ex-ERDF) dans les foyers français, persiste depuis leur introduction. Alors que ces appareils sont présentés comme une avancée technologique promettant une meilleure gestion de l’énergie et une facturation plus précise, ils soulèvent aussi des interrogations aiguës concernant la protection des données personnelles. Pour comprendre les enjeux liés à la confidentialité, il est essentiel de s’intéresser aux fonctionnalités du compteur Linky, aux types de données récoltées et aux risques potentiels associés.

Le compteur Linky est avant tout un outil de modernisation du réseau électrique. Il permet une communication bidirectionnelle entre l’utilisateur et le gestionnaire de réseau. Cette fonctionnalité, qui fait la force du dispositif, permet une lecture quasi instantanée de la consommation d’électricité, ainsi qu’une meilleure réactivité en cas de problème sur le réseau. Les données collectées renseignent avec précision sur les habitudes de consommation des usagers, ouvrant ainsi la porte à une optimisation énergétique potentielle.

Cependant, cette finesse de mesure engendre une inquiétude légitime quant au respect de la vie privée. Les informations transmises par le compteur peuvent théoriquement permettre de déduire des comportements individuels : heures de lever et coucher, périodes d’absence prolongée du domicile, voire utilisation d’appareils électroménagers. La question se pose alors de savoir qui a accès à ces données et dans quel but.

Enedis assure que les donnéees collectées par les compteurs Linky sont cryptées et que leur transmission se fait dans le respect des normes strictes imposées par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). L’entreprise indique également que l’utilisateur garde un contrôle total sur ses données via un espace client sécurisé, où il peut configurer ses préférences de partage. Cependant, malgré ces assurances, le spectre du détournement des données pour des fins commerciales ou malveillantes n’est pas écarté par les détracteurs du système.

La législation européenne RGPD (Réglementation Générale sur la Protection des Données) offre un cadre juridique visant à protéger les citoyens contre l’exploitation abusive de leurs données personnelles. Elle impose notamment à Enedis un niveau élevé d’exigence quant à la sécurité informatique et au consentement explicite des utilisateurs pour le traitement de leurs données. Cependant, le RGPD ne peut garantir à lui seul contre toute faille ou usage détourné qui pourrait survenir dans un monde numérique où les cyberattaques sont monnaie courante.

Certains observateurs mettent en avant que le compteur Linky peut potentiellement servir d’outil pour la mise en place d’une tarification dynamique en fonction des périodes de consommation – ce qui pourrait inciter à décaler certains usages pour bénéficier d’un tarif moindre. Si cela peut être perçu comme un moyen d’inciter à une meilleure gestion personnelle de l’énergie, cela souligne aussi combien nos données peuvent avoir une influence directe sur notre portefeuille.

L’exemple allemand est souvent cité en matière de compteur intelligent : là-bas, la question de confidentialité a été prise très au sérieux dès le début du déploiement des appareils similaires à Linky. Le cadre règlementaire y est beaucoup plus strict sur les types d’informations pouvant être récoltées sans consentement explicite – allant jusqu’à interdire certaines mesures jugées trop intrusives.

En conclusion, bien que le compteur Linky soit vecteur d’avancées significatives dans la gestion énergétique moderne et puisse contribuer à une réduction notable de notre empreinte écologique, il demeure impératif que son implémentation se fasse avec un souci constant du respect de nos données personnelles. Les défis associés à cet équilibre délicat entre innovation technologique et protection privée ne seront relevés qu’à travers une vigilance continue tant des autorités compétentes que des consommateurs eux-mêmes.

La vie de l'entreprise

Réussir en e-commerce avec le dynamic pricing

Le commerce électronique a révolutionné la manière dont nous achetons et vendons des produits. Mais avec l’augmentation de la concurrence, il est devenu impératif pour les retailers en ligne d’adopter des stratégies innovantes pour rester compétitifs. L’une de ces stratégies est le « Dynamic Pricing », une méthode de tarification flexible qui peut faire toute la différence dans le succès d’une entreprise en ligne.

Comprendre le Dynamic Pricing

Le Dynamic Pricing, ou tarification dynamique, est une stratégie où les prix des produits sont ajustés en temps réel en fonction de divers facteurs du marché comme la demande, la concurrence, et les niveaux de stock. Imaginez une salle de concert : plus le jour du spectacle approche et moins il reste de places disponibles, plus les prix montent. Cette même logique s’applique au e-commerce où, par exemple, un détaillant peut augmenter le prix d’un manteau d’hiver lorsque la température chute soudainement ou lorsqu’un concurrent est en rupture de stock.

Pourquoi adopter cette approche? Le e-commerce est marqué par des changements rapides et imprévisibles du comportement des consommateurs et des conditions du marché. En utilisant le Dynamic Pricing, les entreprises peuvent réagir à ces changements presque instantanément, maximisant ainsi leurs profits et leur pertinence sur le marché.

L’impact du Dynamic Pricing sur les ventes et la fidélisation

Une tarification dynamique efficace peut entraîner une augmentation significative des ventes. En ajustant les prix pour correspondre à la volonté de payer actuelle des clients, on capture non seulement ceux qui cherchent à acheter au meilleur prix mais aussi ceux qui sont prêts à payer plus pour obtenir ce qu’ils veulent immédiatement. Cela crée un équilibre entre volume de ventes et marges bénéficiaires. Cependant, il faut être prudent : si les clients perçoivent que les prix fluctuent trop fréquemment ou sans raison apparente, cela peut nuire à la fidélité à la marque.

C’est là que l’intelligence artificielle entre en jeu. Les outils basés sur l’IA analysent des quantités massives de données pour déterminer les meilleurs points de prix possibles tout en prenant en compte l’élasticité-prix du produit. Ils permettent également aux entreprises d’avoir une vue complète sur comment leurs concurrents tarifient leurs produits – un avantage crucial dans un environnement aussi compétitif que celui du e-commerce.

Ainsi, bien que le Dynamic Pricing puisse être un puissant levier pour stimuler les ventes, son succès repose largement sur l’équilibre entre l’optimisation des revenus et la satisfaction client – un équilibre souvent difficile à atteindre mais crucial pour une stratégie durable à long terme.

La vie de l'entreprise, Les RH

Le PER, un outil de fidélisation pour les entreprises

La fidélisation des salariés est au cœur des préoccupations d’un grand nombre d’entreprises. Or, afin de s’en assurer, les entreprises disposent d’un certain nombre de solutions, telles que les dispositifs d’épargne salariale. Le Plan d’Epargne Retraite (PER) est justement l’un de ces outils qui permettent aux salariés de se constituer une épargne pour leur retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et sociaux. Vous réfléchissez à la mise en place de cette alternative pour l’utiliser comme un outil de fidélisation ? Voyons comment le PER peut être utilisé par les entreprises en ce sens afin d’inciter leurs salariés à s’impliquer davantage dans leur travail.

Le PER, un outil de fidélisation pour les entreprises

Vous l’aurez compris, le PER est un dispositif d’épargne salariale qui permet aux salariés de se constituer un capital pour leur retraite. Il a été instauré le 1er octobre 2019 et se décline sous 3 formes : le PER individuel et deux PER d’entreprise. De son côté, le PER individuel a pris le relais du PERP et du contrat Madelin.

De manière générale, les entreprises peuvent mettre en place un PER pour leurs salariés, en complément de dispositifs de participation et d’intéressement, comme le Plan d’Epargne Entreprise (PEE).

Parmi les atouts de ce dispositif pour la fidélisation des salariés, on peut par exemple citer l’un des avantages majeurs du PER d’entreprise, à savoir l’abondement, qui n’est autre que la contribution financière de l’employeur aux cotisations. Ce dernier permet effectivement d’encourager la participation des salariés et de les fidéliser en leur offrant des avantages financiers. De plus, l’abondement est déductible du bénéfice imposable de l’entreprise et exonéré de charges sociales, ce qui représente un avantage fiscal pour l’employeur.

Fidéliser en entreprise : les avantages du PER pour les salariés

Notons que pour les salariés, le PER offre plusieurs avantages en termes d’épargne, de prévoyance et de rémunération. 

Tout d’abord, les versements effectués sont déductibles du revenu imposable, ce qui permet aux salariés de bénéficier d’une économie d’impôt. De même, les sommes versées sur le PER sont bloquées jusqu’à la retraite, sauf cas de déblocage anticipé prévus par la loi, ce qui garantit une épargne significative à long terme.

Les collaborateurs peuvent également bénéficier d’une gestion personnalisée de leur épargne en fonction de leur profil d’investisseur et de leur horizon de placement. Ainsi, les salariés ont la possibilité de choisir parmi différents produits d’investissement afin d’optimiser la rentabilité de leur épargne.

La mise en place d’un PER d’entreprise : les bases pour fidéliser

Lorsque la mise en place d’un PER d’entreprise intervient avec l’objectif clair de fidéliser les salariés, il est primordial que ces derniers ne se sentent pas floués par le dispositif. Cela implique entre autres de négocier et de conclure un accord avec les représentants du personnel ou les syndicats pour déterminer les modalités de fonctionnement, en particulier en ce qui concerne l’abondement de l’employeur, les modalités de gestion, etc.

De plus, l’entreprise doit veiller à informer et à sensibiliser ses salariés sur les avantages du dispositif, en organisant par exemple des réunions d’information ou des ateliers de formation. Elle peut aussi proposer des outils et des services en ligne pour faciliter l’accès à l’information et le suivi de l’épargne.

La vie de l'entreprise

La Business Intelligence pour le marketing et la vente

Le marketing et la vente sont deux éléments fondamentaux de la pérennité des entreprises. Ils sont liés entre eux, car si le marketing n’est pas efficace, les ventes ne seront pas bonnes. 

En effet, le marketing permet de comprendre les attentes des consommateurs et la situation du marché dans lequel évolue l’entreprise et d’influencer le comportement des consommateurs pour les inciter à acheter les produits ou services.

C’est pourquoi une bonne analyse des données est primordiale. Toutefois, avec la grande quantité des informations disponibles, il n’est pas simple de s’y retrouver et encore moins de pouvoir toutes les analyser, surtout pour les petites et moyennes entreprises qui n’ont pas toujours les compétences en interne. 

C’est pourquoi il est indispensable de recourir à des outils dédiés à ce que l’on appelle la Business Intelligence (BI) ou informatique décisionnelle. Faisons le point sur les solutions disponibles sur le marché.

L’utilisation de la Business Intelligence pour l’analyse des données de vente

Certains outils de Business Intelligence sont une arme redoutable pour faire face à l’accroissement des données collectées. C’est notamment le cas de Power BI, un outil de Microsoft qui permet d’analyser des données à partir de différentes sources, notamment Microsoft Excel et Microsoft Power Query (nous y reviendrons). Hors ses qualités intrinsèques, le « tampon » microsoft et les possibilités de certification comme PL-300 rendent le produit incontournable.

Power BI permet de collecter et de traiter une grosse quantité de données là où un traitement manuel n’est pas possible. L’outil permet d’exploiter les informations en créant des tableaux de bord interactifs et des rapports visuels. Ainsi, les entreprises peuvent visualiser et interpréter plus facilement leurs données de vente, par exemple :

  • les tendances de vente ;
  • les produits qui se vendent le plus ; 
  • les segments de marché les plus rentables .

À partir de ces informations, les entreprises peuvent ajuster leur stratégie de marketing pour maximiser leur rentabilité.

L’optimisation de la collecte de données avec Microsoft Power Query

Être en mesure de traiter un grand nombre d’informations est une chose, encore faut-il qu’elles soient pertinentes et exploitables. Ce n’est qu’à cette condition qu’elles seront utiles pour réellement permettre de comprendre le public cible et personnaliser la stratégie de marketing et de vente en conséquence. C’est pourquoi il est intéressant d’utiliser Microsoft Power Query en complément de Power BI. 

Power Query est un outil de BI qui permet de collecter et de transformer des données à partir de différentes sources, notamment les réseaux sociaux, les bases de données des clients et les formulaires de contact en ligne. L’outil permet alors de transformer ces données en formats compatibles avec Power BI et/ou Microsoft Excel VBA.

L’automatisation des processus de vente avec Microsoft Excel VBA

Dernier axe pour une stratégie BI bien ficelée : Microsoft Excel VBA. VBA est un langage de programmation qui permet d’automatiser les processus répétitifs dans Microsoft Excel. Il devient donc envisageable d’automatiser les processus de vente, comme la saisie des commandes, la génération de factures et la mise à jour des données de vente.

Le gain de temps généré libère les équipes commerciales qui peuvent alors se concentrer sur la vente et le développement des relations clients. En outre, l’automatisation permet de limiter le risque d’erreur, mais permet également de réduire le temps de traitement des commandes.

Pour ainsi dire, la Business Intelligence est une alliée des entreprises en matière de transformation digitale.

Les RH

Le rôle des entreprises dans la conciliation travail-famille

Concilier travail et vie familiale est un enjeu majeur de notre société contemporaine. Les entreprises jouent d’ailleurs un rôle essentiel pour la création d’un environnement propice à l’équilibre entre ces deux sphères. Des politiques de congés parentaux, des horaires flexibles et des services d’aide pour trouver une garde d’enfants ou une femme de ménage peuvent notamment contribuer à soutenir les employés dans leur vie familiale, tout en favorisant leur productivité et leur satisfaction au travail. Explications.

La conciliation travail-vie famille : définition et enjeux

Faisons un tour d’horizon de ce qu’implique la conciliation entre travail et vie de famille, et surtout des conséquences d’un déséquilibre éventuel.

Comprendre l’importance de la conciliation de travail-vie de famille

La conciliation travail-vie de famille désigne l’équilibre entre les responsabilités professionnelles et les engagements familiaux. Reconnaître son importance permet de maintenir une harmonie entre les différents domaines de la vie d’une personne. De manière générale, une bonne conciliation favorise une excellente santé mentale, une grande satisfaction au travail et une certaine qualité des relations familiales.

Les conséquences d’un déséquilibre travail-famille

Un déséquilibre entre le travail et la vie familiale peut avoir des conséquences néfastes pour une entreprise. En premier lieu, les collaborateurs concernés sont soumis à un stress accru, à une diminution de leur productivité et à des problèmes de santé mentale. De plus, les sociétés risquent de rencontrer des difficultés de rétention des employés, ce qui peut engendrer des coûts de recrutement et de formation supplémentaires.

La garde d’enfants sur le lieu de travail : une solution pour les entreprises

Depuis quelques années, la garde d’enfants en entreprise se présente comme une solution majeure.

Les mesures de conciliation travail-famille favorisant la productivité

La garde d’enfants sur le lieu de travail est une alternative prometteuse pour les entreprises qui se soucient de la conciliation travail-famille de leurs salariés. Grâce à des services de garde pratiques et accessibles, elles permettent aux employés de mieux assumer leurs responsabilités parentales face à leurs obligations professionnelles.

L’impact positif sur la rétention des employés

L’impact de cette solution est significatif, notamment en ce qui concerne la rétention des employés, puisque les entreprises créent un environnement de travail positif. Les employés sont plus enclins à y rester. 

Les initiatives des entreprises en matière de conciliation travail-famille

Quelle est la durée maximum du congé maternité au Canada ?

Les mesures de conciliation travail-famille dans les milieux de travail

La conciliation travail-famille est devenue un enjeu pour les entreprises et certaines sont même à l’avant-garde, comme Google et Meta qui proposent des politiques flexibles concernant le travail à domicile, les horaires et les services de garde sur site. Ces mesures augmentent non seulement la satisfaction des employés, mais fidélisent aussi les talents. C’est donc un investissement payant à long terme.

Les politiques de congé maternité

Au Canada, les politiques de congé maternité sont par exemple généreuses, avec une possibilité de congé payé pouvant aller jusqu’à 18 semaines. Les entreprises qui offrent des conditions de congé maternité au-delà des minima légaux jouissent par ailleurs d’une meilleure image de marque et d’une attractivité renforcée pour les talents féminins.

La vie de l'entreprise

La mobilité électrique au service des entreprises : les avantages des scooters électriques pour les déplacements professionnels

Pourquoi opter pour des scooters électriques pour les déplacements professionnels ? Parce que les scooters électriques offrent de nombreux avantages : mobilité durable, préservation de l’environnement, bénéfices économiques pour les entreprises, etc. Vous souhaitez en savoir davantage, on vous explique tout.

1. Les avantages écologiques des scooters électriques pour l’entreprise

Avec un nombre croissant de véhicules en circulation, les temps de trajet s’allongent et les conditions de déplacement sont de plus en plus laborieuses. 

En plus de faciliter les trajets, les avantages des scooters électriques pour l’environnement sont évidents : moins de nuisances (sonores et olfactives) et aucune émission nocive pour l’environnement et ses habitants.

2. Les bénéfices économiques des scooters électriques pour les entreprises

Les coûts d’entretien et d’utilisation des scooters électriques sont infimes et le coût de la recharge électrique moins onéreux qu’un plein de carburant.

De plus, l’achat de scooters électriques offre des avantages fiscaux pour les entreprises (pas de taxe sur les véhicules de société, déduction fiscale, barème kilométrique).

Des offres de services existent également : 

  • abonnement pour une mise à disposition de scooters électriques 
  • véhicules adaptés aux tournées régulières ou livraisons 
  • mise à disposition d’une flotte privée en libre-service avec une application de gestion 

3. Les solutions de location de scooters électriques pour les entreprises

Les avantages de la location longue durée de scooters électriques sont divers : 

  • absence de frais fixe (l’entretien et la maintenance étant à la charge du loueur) ; 
  • changement de batterie sans surcoût ; 
  • renouvellement périodique des scooters ;
  • assurance gérée par le loueur ;
  • aucun investissement.

4. Les nouvelles solutions de mobilité partagée pour les entreprises

La mobilité partagée permet aux entreprises de réduire leur flotte de véhicules sans pour autant nuire à la productivité et à l’activité des salariés, limitant ainsi les dépenses fixes. Ce type d’offres existe aussi en libre-service pour les entreprises dans le cadre des déplacements professionnels ou les trajets domicile – travail.

D’autres tendances facilitent la transition des entreprises : 

  • mobilité électrique multimodale connectée ; 
  • véhicules électriques autonomes ; 
  • services en matière de mobilité électrique qui s’étend .

5. Le salon Autonomy à Paris : l’événement dédié à la mobilité durable et électrique

Le salon Autonomy à Paris est le grand rassemblement annuel mondial présentant les innovations et tendances de la mobilité durable et électrique pour les entreprises : smart-city ou les villes à mobilité intelligente, logiciels de gestion des flottes de véhicules plus vertes, programme E-mobility, etc. 

C’est l’occasion de découvrir les nouveaux modèles de scooters électriques, comme le Yamaha Tricity 125 cm3 de la start-up Troopy ou le catalogue de scooters électriques pour pros de la marque silence.

6. Les applications mobiles dédiées à la mobilité électrique pour les entreprises

Si s’équiper de scooters électriques est une solution, les avantages des applications mobiles pour les entreprises sont un atout pour suivre sa flotte, gérer la mobilité partagée, mettre en place un paiement à la carte pour les trajets domicile – travail, gérer la maintenance de ses véhicules, etc.

7. L’achat de flottes de scooters électriques pour les entreprises

Les avantages de l’achat d’un parc de scooters électriques pour les entreprises ne doivent pas être négligés : 

  • libre choix du modèle, couleur et accessoires ;
  • usage plus économique tout frais confondu ; 
  • aucune dépendance à un prestataire ;
  • aides à l’achat disponibles ; 
  • défiscalisation et amortissement comptable.
La vie de l'entreprise, Les démarches

Garanties et cautions exigées pour les prêts professionnels : comment s’y préparer ?

L’obtention d’un prêt professionnel est souvent nécessaire pour financer un projet d’entreprise, qu’il s’agisse d’une création ou du développement d’une activité déjà existante. Toutefois, avant d’accorder un crédit, quel qu’il soit, les banques et organismes prêteurs exigent généralement des garanties et cautions afin de se protéger en cas de défaillance de l’emprunteur.

Si vous pensez être dans cette situation dans un futur plus ou moins proche, faisons un tour d’horizon de la meilleure façon de vous préparer aux garanties et cautions demandées pour les prêts professionnels. N’oubliez pas que l’avis d’un professionnel, comme Finance Conseil par exemple, vaudra toujours mieux que nos conseils.

Comprenez les différents types de garanties et cautions

En premier lieu, il est essentiel que vous compreniez bien les différentes garanties et cautions demandées par les banques et organismes prêteurs pour les prêts professionnels. En effet, les spécificités de chacune peuvent significativement varier.

Par exemple, dans le cas d’une caution personnelle, le dirigeant de l’entreprise ou un tiers se porte caution solidaire et s’engage à rembourser l’emprunt en cas de défaillance de l’entreprise. L’impact peut donc être majeur pour la personne concernée et son patrimoine personnel.

Dans un autre registre, la garantie réelle (nantissement, hypothèque, etc.) peut paraître comme une solution moins risquée, même si là encore, tout manquement est susceptible d’entraîner la perte du bien concerné.

Enfin, l’assurance emprunteur est sans doute l’option la plus sage, lorsqu’elle suffit, puisqu’il suffit d’une cotisation mensuelle pour garantir le remboursement du prêt en cas d’incapacité de l’emprunteur à honorer ses engagements (décès, invalidité, etc.).

Dans tous les cas, il faut savoir que les garanties et cautions exigées dépendent généralement du type de prêt, du montant emprunté et du niveau de risque perçu par la banque ou l’établissement prêteur.

Préparez votre dossier de garanties et cautions

Une fois que vous avez identifié les garanties et cautions exigées par les banques pour un prêt professionnel, vous pouvez préparer votre dossier en conséquence.

Pour commencer, rassemblez les documents nécessaires pour chaque type de garantie ou caution (acte de propriété, contrat d’assurance, etc.). Puis, faites une simulation en ligne pour évaluer le montant de votre emprunt et la probabilité des garanties associées. Notez que si vous prévoyez de solliciter une caution personnelle, vous devez évidemment en discuter avec la personne concernée et vous assurer qu’elles comprennent bien les tenants et aboutissants de sa décision.

Si vous préférez une garantie réelle, faites appel, si possible, à un courtier ou à un notaire, afin de profiter d’une aide bienvenue pour la préparation des documents.

Optimisez votre apport personnel et votre plan de financement

L’apport personnel et le plan de financement sont tous deux des éléments clés pour rassurer les banques et organismes prêteurs sur votre capacité à rembourser votre prêt professionnel. En augmentant votre apport personnel, vous pouvez considérablement réduire le montant emprunté et le risque pour le prêteur.

De plus, grâce à un plan de financement bien structuré, vous démontrez votre sérieux et votre engagement dans le projet.

Quelques astuces simples peuvent vous permettre d’optimiser votre apport personnel et votre plan de financement. Vous pouvez ainsi :

  • économiser et investir autant que possible dans votre entreprise ;
  • explorer les autres sources de financement (subventions, financements participatifs, etc.) ;
  • détailler vos projections financières et votre stratégie de développement ;
  • avoir recours aux services d’un conseiller en création d’entreprise.

Et n’oubliez pas, la clé du succès réside dans la préparation, la rigueur et la transparence.

Le juridique, Les démarches

Changer l’adresse de domiciliation de son entreprise : est-ce possible ?

À la création de votre entreprise, vous avez forcément choisi une adresse de domiciliation, puisque cette formalité est obligatoire. Il s’agit de l’adresse du siège social de votre entreprise qui sert également d’adresse administrative et fiscale. Mais voilà, aujourd’hui, vous envisagez de changer d’adresse de siège social et vous vous demandez si c’est possible. 

Il existe plusieurs raisons à ce changement : déménagement de l’entreprise ou du gérant (en cas de domiciliation à son domicile personnel), besoin de louer des locaux pour poursuivre le développement de l’activité, nécessité de bénéficier d’une adresse plus prestigieuse, etc. 

Qu’importe les raisons, la bonne nouvelle est que changer d’adresse de siège social est tout à fait possible. C’est ce que l’on appelle un transfert de siège social. Toutefois, certaines formalités sont à accomplir. Faisons le point. 

Acter la décision de changement de domiciliation de l’entreprise 

Changer de domiciliation d’entreprise n’est pas automatique, notamment pour une entreprise comportant des associés ou actionnaires (SAS, SARL, SCI, etc.). Le gérant doit obtenir l’accord de ces derniers lors d’une réunion en assemblée générale (avec rédaction d’un procès-verbal).

Dans le cas de l’entreprise individuelle (y compris au régime de la micro-entreprise), c’est beaucoup plus simple : le gérant décide seul et n’a pas à fournir de procès-verbal. La démarche est identique pour les entreprises unipersonnelles (SASU et EURL), excepté que l’associé unique doit remplir un document de décision unilatérale.

Les démarches de changement de domiciliation de l’entreprise

Dans le cas de l’entreprise individuelle, les démarches sont on ne peut plus simples. Le gérant doit simplement déclarer le changement d’adresse sur le site du guichet unique des formalités des entreprises (GFE). C’est une autre affaire en ce qui concerne les sociétés commerciales ou civiles.

La mise à jour des statuts d’entreprise

L’adresse de domiciliation étant une des mentions obligatoires dans les statuts juridiques de l’entreprise, le gérant doit donc les mettre à jour au changement de domiciliation. Pour cela, il suffit d’indiquer la nouvelle adresse de siège social.

Les nouveaux statuts doivent être datés, certifiés conformes à l’original et signés par tous les associés ou actionnaires si l’entreprise en comporte, le cas échéant, par l’associé unique seulement.

La rédaction et la publication d’une annonce légale

Dès lors qu’il y a un changement statutaire, la publication d’une annonce légale dans un journal d’annonces légales ou un support de presse en ligne habilités est obligatoire. Attention, certaines mentions sont obligatoires. 

Le gérant doit publier deux annonces lorsque le changement de domiciliation du siège social a lieu dans un autre département avec changement de ressort du tribunal de commerce : une annonce dans le département de départ et l’autre dans le département du nouveau siège social.

Le délai de publication de l’annonce légale est d’un mois à compter de la date du procès-verbal d’assemblée générale.

La demande de transfert du siège social de l’entreprise 

Le changement de domiciliation du siège correspond à son transfert ou déménagement. Le gérant doit demander la modification de l’adresse de domiciliation auprès du guichet unique des formalités des entreprises. Celle-ci permet la mise à jour de l’adresse auprès des tiers concernés (Urssaf, organismes sociaux, greffe du tribunal de commerce, services des impôts des entreprises, etc.).

À l’issue des démarches, le gérant reçoit un nouvel extrait Kbis avec la nouvelle adresse de domiciliation.

La vie de l'entreprise

Lancer sa boutique en ligne : quelle plateforme choisir ?

Lorsque l’on sait qu’en 2020, ce sont près de 200 000 boutiques en ligne françaises qui se sont partagées 41 millions de clients pour un chiffre d’affaires record de 112 milliards d’euros, il est légitime de trouver tentant de lancer son propre e-commerce. 

Si trouver la bonne idée de produits ou de services est d’une importance capitale pour mettre toutes les chances de son côté, choisir la plateforme de vente la plus adaptée reste une condition sine qua non. Que ce soit en matière d’expérience utilisateur ou pour mettre les produits convenablement en valeur dans une boutique soignée et avec un beau design, la solution utilisée est alors une des clefs de réussite.

Mais avec plus de 150 éditeurs ou prestataires sur le marché, il est difficile de s’y retrouver et plus encore lorsqu’on lance sa toute première boutique en ligne. Voici ce qu’il faut savoir sur le sujet.

Lancer une boutique en ligne avec un logiciel Saas

Les outils en mode Saas (Software as a service) sont des solutions très en vogue aujourd’hui. Cela consiste à prendre un abonnement à une solution e-commerce hébergée chez le fournisseur de l’outil. Ces logiciels ou applications sont Plug & play, c’est-à-dire qu’elles n’exigent que très peu d’expertise puisque toutes les fonctionnalités nécessaires sont intégrées et paramétrées : hébergement, nom de domaine, configuration, personnalisation, design, maintenance technique, sauvegarde, SEO, design, etc. 

Il faut alors très peu de temps (quelques jours seulement) pour créer son site e-commerce et le rendre opérationnel, et ce pour un coût très faible. L’inconvénient majeur de ce type de solution est que la personnalisation (design et fonctionnalités) demeure assez limitée. Mais c’est une bonne solution pour les novices.

Shopify, créé en 2009, est le logiciel Saas le plus populaire dans le monde. Aujourd’hui, 1 million de sites e-commerce sont sur Shopify. L’outil est très simple d’utilisation et peu onéreux, il attire surtout les petites entreprises, car il est peu adapté aux gros sites de e-commerce.

Lancer une boutique en ligne avec un CMS open source

Les CMS (content management system) en open source (modifiable, car le code source est disponible) sont l’outil de référence de gros e-commerce dans la mesure où ils sont entièrement personnalisables, pour peu que l’on possède les compétences techniques. Le cas échéant, ces solutions nécessitent de faire appel à un développeur si l’on souhaite une configuration personnalisée.

Contrairement aux solutions Saas et marketplace (comme Amazon, eBay, Cdiscount, etc.), l’installation d’un CMS open source est souvent gratuite et la personnalisation et le design sont plus libres. En contrepartie, il faut gérer soi-même tous les aspects de son e-commerce : hébergement, achat d’un nom de domaine, sécurisation et sauvegarde du site, etc. Cela fait beaucoup à maitriser en plus des formalités administratives usuelles.

WooCommerce est le module e-commerce en open source gratuit le plus populaire à l’échelle mondiale, car il fonctionne sur le CMS le plus connu pour la création de site ou de blog, à savoir WordPress. WooCommerce se positionne avant Shopitfy et représente 29 % des CMS de boutique en ligne dans le monde. Pour ainsi dire, il est considéré comme l’un des systèmes les plus fiables et les plus complets permettant de créer un site e-commerce très professionnel grâce, notamment, à une multitude de plug-ins disponibles.

Prestashop est une solution de e-commerce open source française qui représente 27 % de parts de marché en France. Prestashop est ainsi le premier CMS utilisé dans le pays (300 000 e-commerces).

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